Empruntez le pont Octávio Frias de Oliveira à pied ou en voiture pour ne rien manquer de son imposante structure. En plus d'être un axe routier très fréquenté, ce pont qui relie les deux parties de la ville est emblématique pour les habitants de São Paulo. N'oubliez pas de le prendre en photo en souvenir de votre séjour.
Le pont Octávio Frias de Oliveira fut construit pour relier l'autoroute Marginal Pinheiros à la partie sud de la ville, de l'autre côté du Pinheiros. Achevé en 2008, il reçut le nom d'Octávio Frias de Oliveira, grand entrepreneur et dirigeant de l'un des groupes de communication les plus influents du pays : Folha.
Tout en traversant le Pinheiros, observez les voies diverger lorsqu'elles se glissent sous la structure en forme de croix du pont. Haute de 138 mètres, cette construction est soutenue par des centaines de câbles partant des piliers croisés. Le pont Octávio Frias de Oliveira est la seule construction au monde à relier à un même édifice en béton deux routes divergentes.
La vue se révèle particulièrement impressionnante la nuit, alors que les piliers sont illuminés. Des éclairages spéciaux sont installés lors de certaines occasions et fêtes. À Noël par exemple, le pont est décoré à l'aide de projecteurs colorés qui le transforment en sapin de Noël.
Après avoir admiré le pont, profitez-en pour aller visiter le quartier du Centro de São Paulo. À proximité, vous pouvez également vous promener dans un coin de nature brésilienne au jardin botanique ou aller observer des poissons colorés à l'aquarium de la ville. Plus loin, en plein cœur de la ville, visitez les sites incontournables que sont la mairie et le théâtre municipal. En soirée, contemplez le pont éclairé depuis la plate-forme d'observation de l'Edifício Itália tout en sirotant un délicieux cocktail.
Le pont Octávio Frias de Oliveira se situe légèrement au sud-ouest du centre-ville de São Paulo. Évitez le pont aux heures de pointe. En effet, les embouteillages ralentissent considérablement la circulation sur le pont à certaines périodes.
